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Château de Jumilhac (XIIIème, XVème et XVIIème siècles)

château de jumilhac

Site du Parc Naturel Régional Périgord-Limousin, cette ancienne forteresse fût remaniée à la Renaissance puis couverte, vers 1600, de toitures féeriques ornées de faîtières aux allégories seigneuriales, uniques en France.

Restructurée au XVIIème et agrémentée de jardins «à la française» qui ont été rénovés sur le thème : Or et Alchimie (deux faits culturels locaux), elle impressionne par son harmonie et sa splendeur : grand salon lambrissé et parqueté «à la Versailles», escalier d’apparat Louis XIII, salle à manger, cuisine aux multiples cuivres, chambre de La Fileuse (fresques et légende)...

Classée Monument Historique, la demeure des Marquis de Jumilhac est le témoin de cinq siècles d’Histoire, d’Art et d’Architecture en Marche Limousine. Elle reflète la gloire et la puissance des Jumilhac, ses bâtisseurs, et est réputée être «la Perle Noire du Haut Périgord».

 

Visites : Horaires

Ouvert toute l'année
de 10h00 à 19h00 en haute saison
de 14h00 à 18h30 en basse saison
Visites nocturnes en Juillet et Août le Mardi et le Jeudi de 21h30 à 23h30

Réservations et renseignements : Tél/Fax: 05 53 52 42 97

http://www.best-of-perigord.tm.fr/sites/chateaux/jumilhac/jumilhac.html
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Château de Mareuil sur Belle (XIIème et XVème siècles)

 

Située entre les vastes espaces du Ribéracois et un pays rude et élevé au nord, Mareuil-sur-Belle est une ancienne baronnie, l'une des quatre du Périgord, et a conservé son château du XIIème siècle. Reconstruit au XVIème siècle.

 

Visites : Horaires

Ouvert du 02/12 au 20/11 et le reste de l'année sur RV.
de 10h00 à 12h30 et de 14h00 à 18h00 en haute saison.
de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00 en basse saison.

Tel: 06 87 18 06 04

Château de Puyguilhem à Villars (XVIème siècle)

 

Ce château, construit au début du XVIème siècle, présente les caractères des châteaux de la Loire du temps de François 1er. Il est sans doute le plus beau château de la Renaissance en Périgord, en tout cas le plus original et le plus riche en sculptures.

 

Visites : Horaires

Ouvert toute l'année sauf janvier, groupes sur RV.
de 10h00 à 19h00 en Juillet et Août.
de 10h00 à 12h30 et de 14h00 à 18h00 hors saison.

Tel/Fax: 05 53 54 82 18

 

http://www.semitour.com

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Château de Bourdeilles (XIIIème-XVIème siècles)

 

Le château de Bourdeilles est bâti sur des roches dominant la Dronne.

Ancienne baronnie du Périgord, c'est une forteresse féodale et un logis de la Renaissance. Il vous offre une décoration peinte du XVIème siècle et du XVIIème siècle.

Véritable musée d'objets mobiliers.

 

Visites : Horaires

Ouvert toute l'année sauf Janvier, groupes sur RV.
de 10h00 à 19h00 en Juillet et Août.
de 10h00 à 12h30 et de 14h00 à 18h00 hors saison.

Tel/Fax: 05 53 03 73 36

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Château de la Chapelle Faucher (XIIIème-XVème siècle) (entre Brantôme et Thiviers)

 

Dominant la vallée de la Côle, le château de la Chapelle Faucher appartient à la même famille depuis 500 ans. Il est le témoin de 800 ans d'histoire. Il est dévasté en 1916 par un incendie dû à la foudre mais conserve ses courtines et sa poterne d'entrée. Magnifique "son et lumière" en juillet août.

 

Visites : Horaires

Ouvert du 01/07 au 31/08 de 10 h à 12 h et de 14 h à 19 h

Tél: 05 53 54 81 48

Grotte de Villars

 

Au cœur du Périgord Vert, la grotte de Villars, où les concrétions sont particulièrement remarquables, est une caverne ornée de peintures datant du magdalénien ancien, belles et variées représentant notamment des chevaux ainsi qu'une scène homme/bison. Parking ombragé, boutique, bar, pique-nique ombragé ou couvert.

 

Visites : Horaires

Ouvert du 01/04 au 11/11, groupes toute l'année sur RV.
de 10h00 à 19h30 en Juillet et Août.
de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 19h00 (Avril, Mai, Juin, Septembre).
de 14h00 à 18h00 (Octobre, Novembre)

Tel: 05 53 54 82 36 Fax: 05 53 54 21 73

http://www.grotte-villars.com - mail: Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

Tourbières de Vendoire (près Verteillac)

 

Il y a 10.000 ans, il n'y avait ici qu'une grande cuvette pleine d'eau. Siècle après siècle, en 10 fois 1000 ans, les hommes ont assisté à son comblement naturel et ont incrusté leur histoire dans son terreau fragile.

Vous découvrirez le mode de formation de la tourbe, l'exploitation par les hommes à travers les temps, les précieux souvenirs laissés au fil des âges. Vous apprendrez à dater les terrains, à reconstituer l'histoire géologique et humaine.

Vous écouterez pulser un monde d'avant la pollution. Les plantes vous conteront leurs secrets au détour des sentiers découvertes. Balisées, elles vous donneront des informations inédites que vous ne trouverez nulle part ailleurs.

Vous plongerez alors dans un passé culturel très ancien. Vous vous émerveillerez devant ce précieux petit sanctuaire de la nature où la tourbière continue de vivre à son rythme multimillénaire.

 

Visites : Horaires

Ouvert du 01/05 au 30/09.
Le reste de l'année sur RV.
de 10h00 à 18h00 tous les jours

Tél: 05 53 90 79 56 - Fax: 05 53 91 38 48

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Abbaye de Brantôme - Le plus vieux Clocher de France

 

L'Abbaye de Brantôme a été fondée en 769 par Charlemagne. Saccagée par les normands et reconstruite au 11ème siècle par l'abbé Guillaume, c'est essentiellement l'Abbé Pierre de Mareuil qui édifiera au 16ème siècle les bâtiments les plus caractéristiques.

Après une restauration importante au 19ème , vous visiterez aujourd'hui l'église abbatiale, les bâtiments conventuels, et le musée Fernand

 

 

Visites : Horaires

Ouverte du 01/02 au 31/12
Visites commentées du 15/06 au 15/09
de 10h00 à 19h00 en haute saison
de 10h00 à 12h30 et de 14h00 à 18h00 en basse saison
Fermé le samedi et dimanche matin en haute saison
Fermé le mardi et dimanche matin en basse saison

Tel: 05 53 05 80 63 Fax: 05 53 35 45 18 - http://www.ville-brantome.fr - mail: Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

Abbaye de Boschaud

 

Tout prés du château de Puyguilhem, découvrez cette abbaye cistercienne datant du 12ème siècle, dévastée au cours de la guerre de 100 ans et pendant les guerres de religion. Longtemps et tristement laissée à l'abandon, elle a été reprise en 1950 par les monuments historiques qui ont alors entrepris de dégager et consolider les ruines. Nichés en pleine nature, les vestiges de cette ancienne abbaye sont très émouvants et valent le détour .

D98 puis à gauche à St Crépin de Richemont

 

 

Visites : Horaires

Ouvert toute l'année
Site en visite libre.

Tel: 05 53 03 50 79

 

 

Château des Bernardières

Le Château des BERNARDIÈRES est campé sur les rochers dominant la Nizonne. Tour de guet ou poste avancé, peu importe pour Bertrand du Guesclin qui en chasse les anglais en septembre 1377.

 

Visites : Horaires

Tel: 05 53 56 25 50

Château de Varaignes

Atelier-Musée des Tisserands et de la Pantoufle Charentaise : situé dans le cadre du château, dont les pierres portent les traces de l’évolution de l’architecture du XIVème s. à la fin du XVIème s., cet atelier-musée présente les métiers, les technologies et l’histoire du feutre textile et du paysan-tisserand.

 

Visites : Horaires

Tel: 05 53 56 35 76
 
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BRANTÔME :

 

Ancienne halte sur le chemin de St Jacques de Compostelle, aujourd'hui une porte du Parc Naturel Régional Périgord-Limousin et joyau du val de Dronne

Les hommes préhistoriques, ont occupé les surplombs rocheux creusés par la rivière Dronne.

Le dolmen de Peyrelevade (dit "Pierre Levée") témoigne des premières manifestations d'art religieux .

La présence romaine se retrouve sur les tronçons, encore visibles des voies " romaines", dans les noms de lieux se terminant en ac, as, an ou at.

A Brantôme, deux femmes ermites, Ste Maine et Ste Galle (vitrail du porche de l'église abbatiale), s'abritent, à leur tour, dans le pied de falaise.

Dès le 8ème siècle, ce sont les moines bénédictins qui vivront en troglodytes, la falaise fournissant abris et matière première de qualité pour la construction. La tradition veut que ce soit Charlemagne qui consacra l'abbaye St Pierre de Brantôme en y déposant les reliques d'un enfant martyr, un des saints Innocents, Sicaire (deux panneaux de bois doré, 17ème siècle, dans le chœur de l'église, illustrent la donation et le massacre).

Ravagée à deux reprises par les incursions normandes, l'abbaye retrouve une certaine prospérité au 10ème siècle (construction du clocher campanile à gables de style roman limousin 11ème siècle)
Son rattachement, à la fin du 11ème siècle, à l'abbaye de la Chaise Dieu, donnera un nouvel essor qui se poursuivra durant les 12ème et 13ème siècles.

L'occupation anglaise à trois reprises (1382, 1404, 1408) viendra mettre en péril l'existence de cette communauté. L'église et le cloître seront en partie détruits. Les reconstructions n'interviendront qu'à la fin du 15ème siècle (style gothique).


Le 16ème siècle voit l'avènement du principe de la commende (concordat de 1516). Le pouvoir royal choisira parmi ses favoris, clercs ou laïques, pour occuper la charge d'abbé. Le plus célèbre, Pierre de Bourdeille, chroniqueur mieux connu sous le nom de "Brantôme" (auteur notamment des "Dames Galantes").

La commende entraine le développement d'une architecture de prestige de style Renaissance, palais abbatial et son jardin, cadre d'une vie mondaine où l'abbé vivait en grand seigneur (16ème, 17ème, 18ème siècles).
La vie monastique disparut en 1790 à la suite des décrets révolutionnaires ordonnant la dispersion des communautés religieuses.

Les 19ème et 20ème siècles s'attacheront surtout aux contingences urbaines et aux exigences économiques et ouvriront définitivement l'abbaye sur le bourg.
Aujourd'hui, les bâtiments de l'abbaye, propriété de la ville de Brantôme, hébergent, à la fois, les services administratifs de la cité, et un "pôle culturel" composé d'une bibliothèque ainsi que des salles d'exposition, dont le célèbre "Dortoir des moines" à la superbe charpente en carène de bateau.
 
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NONTRON :

 

place du château de NontronIl n’est pas véritablement possible de se faire une image complète et heureuse du Périgord sans une halte en Nontronnais.

Empreint d’un charme plus discret que les larges plaines du Bergeracois ou les causses arides du Sarladais, il est riche de ses vallées verdoyantes, des coloris de ses bois, de la douceur sans pareil de ses horizons vallonnés.

Ses manoirs et ses châteaux, témoins silencieux des temps de fureur quand les Anglais vendangeaient l’Aquitaine, demeures de quiétude du siècle des Lumières, ses incomparables églises de village, humbles et pures, la multitude de ses étangs, ses taillis touffus, ses hautes chênaies, ses grottes et ses rocs, offrent au visiteur qui aime découvrir, pas à pas, sites et paysages, de savoureuses perspectives.

Entré de la ville Et que dire de sa gastronomie ! Délices du terroir à déguster à l’ombre paisible de nos auberges de campagne, blotties en lisière de forêt, à la douce fraîcheur de nos restaurants de villages…
Au cœur de cette contrée verte, de ce florilège de hameaux et de villages, aux noms de saints antiques, Nontron, ville de commerce, d’artisanat et d’industrie, curieusement bâtie sur un coteau, domine la vallée du Bandiat et son cours sinueux, du haut de ses 2000 ans d’histoire. Ses paysages à la douceur toscane, ses jardins d’art et de couleurs, ses fontaines d’eaux vives, ses maisons à colombages, ses marchés aux mille senteurs, ses fougères denses où se blottit le champignon, en font par excellence le pays de la découverte, du bonheur de vivre et de l’envie d’entreprendre.
 
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Le marché en centre ville  

Dynamisme commercial

Connue depuis longtemps comme une plate forme commerciale incontournable, Ribérac attire de nombreux chalands bien au-delà de sa zone géographique naturelle.
Les touristes, un peu attentifs, auront remarqué, en bordure de routes des dizaines de kilomètres avant d’arriver, des panneaux vantant de vieilles enseignes ribéracoises.

Certaines de ces vieilles maisons ont disparu mais aujourd’hui, pas besoin d’enseignes pour que le marché du vendredi attire une foule considérable parmi laquelle une très forte proportion de britanniques.
Sans fausse modestie si on devait classer les marchés comme on le fait pour les hôtels, nul doute que celui de Ribérac ferait partie des 4*L !
 

Culture

Il est difficile d’expliquer ce phénomène - autrement que par la volonté farouche de ses responsables - qui fait que l’on associe culture et Ribérac presque aussi naturellement que Dordogne et préhistoire.

Passer ses vacances à Ribérac c’est tout le contraire que de choisir de vouloir bronzer idiot (bien sûr il n’est pas interdit de bronzer !).

En juillet et août, au cours des dix dernières années, vous auriez pu : *voir des œuvres originales de Picasso, d’André Masson, de Jean Dubuffet, de Dana Roman, de Crémonini,… *écouter Césaria Evora, Dee Dee Bridgewater, Paolo Conte, Michel Pétrucciani, Martial Solal, ….

 L'exposition J.Dubuffet à la Collégiale - Septembre 2002
Les berges de la Dronne  

Nature

À Ribérac coule la Dronne, source d’énergie, elle a accompagné et permis le développement de nombreuses activités industrielles et artisanales dont certaines perdurent et se visitent;

Aujourd’hui la rivière se veut plus cool, elle se consacre aux pêcheurs, aux canoéistes, aux randonneurs aux rêveurs et même aux varappeurs. Proche de Ribérac, la Double, forêt mystérieuse, s’offre sans se donner à tous ceux qui l’abordent avec humilité et respect.

Tout autour de Ribérac se sont tissés des réseaux de chemins et de petites routes sur lesquels les randonneurs de toutes sortes, si possible sans moteur, sont invités à se perdre pour mieux se retrouver au plus profond d’eux mêmes.

L'Office de Tourisme  

Accueil

Ce n’est pas un hasard si le bureau d’accueil de l’Office de Tourisme se trouve au cœur même de la ville et que son architecture transparente invite les visiteurs à y entrer, c’est bien la manifestation d’un état d’esprit d’ouverture qui se traduit par beaucoup d’autres